• Mes mots ne serais pas assez fort pour aider ces personnes

    Vers sans rimes

    Le bruit de ton aiguille et celui de ma plume
    Sont le silence d'or dont on parla d'argent.
    Ah ! cessons de nous plaindre, insensés que nous fûmes,
    Et travaillons tranquillement au nez des gens !

    Quant à souffrir, quant à mourir, c'est nos affaires
    Ou plutôt celles des toc-tocs et des tic-tacs
    De la pendule en garni dont la voix sévère
    Voudrait persévérer à nous donner le trac

    De mourir le premier ou le dernier. Qu'importe,
    Si l'on doit, ô mon Dieu, se revoir à jamais ?
    Qu'importe la pendule et notre vie, ô Mort ?
    Ce n'est plus nous que l'ennui de tant vivre effraye !

     

     

     

     

     

    « la princesse la jeune fille »
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  • Commentaires

    2
    Dimanche 15 Novembre 2015 à 15:56

    Bonjour chére Sylviane trés joli texte et belle image,je te souhaite un bon début de semaine...gros bisous..Pascal

    1
    Dimanche 15 Novembre 2015 à 15:25

    Bonjour Sylviane ,

    Très jolie création et un poème de circonstance

    en ces jours où les Parisiens ont vécu l'horreur;

    On pense maintenant à toutes ces victimes

    innocentes et leurs familles endeuillées.

    Tu as bien fait de te servir, mon espace est

    à partager;

    Bonne fin de journée -

    Gros bisous -Violette

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